Sainte Geneviève, patronne de Paris qu’elle sauva d’Attila

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Sainte Geneviève, patronne de Paris qu’elle sauva d’Attila

Repérée dès son plus jeune âge par le grand saint Germain d’Auxerre qui la consacra à Dieu, Geneviève impressionne par sa prière, ses miracles et ses prophéties. Lorsque Paris est assiégé par les Huns d’Attila, elle affirme que la ville ne sera pas prise et redonne courage à tous. En ce Ve siècle très agité par de multiples courants et partis, elle exerce de fait son autorité sur la politique de la ville et se révèle une éducatrice, une architecte et une administratrice hors pair.

Jean-Louis Rémouit spécialiste de sainte Geneviève - auteur du site sainte-genevieve.net

Née vers 420, Geneviève est la fille de Severus, un Franc romanisé, militaire puis magistrat municipal parisien après son retour à la vie civile, et d’une Franque nommée Gérontia. Elle se fait remarquer en 429 par un évêque en mission apostolique d’évangélisation : le prestigieux Germain d’Auxerre, qui, partant pour la Grande-Bretagne combattre l’hérésie pélagienne, rencontra sur sa route à Nanterre cette petite fille âgée de moins de 10 ans et l’invita à se consacrer à Dieu, celle-ci lui ayant confirmé que c’était son vœu le plus cher. Le saint évêque lui donna alors comme souvenir de cet engagement solennel une piécette de monnaie ornée d’une croix, l’invitant à la porter comme unique bijou, toute sa vie durant. Peu après, on signala le premier miracle de sainte Geneviève : sa mère devenue aveugle recouvrit la vue par l’intercession de sa fille.

Sainte Geneviève vient habiter Paris à la mort de ses parents vers 440.[modifier]

Elle loge chez sa marraine spirituelle et quitte le conseil municipal de Nanterre pour celui de la capitale (charge dont elle avait hérité de son père), mais ses origines franques la mettent en opposition avec les Parisiens. Il faut alors une deuxième visite de l’évêque Germain d’Auxerre, à nouveau de passage à Paris, pour lui rendre un nouvel hommage public éclatant. Se rendant en effet chez la jeune fille qu’il avait distinguée onze ou douze ans auparavant, il vit que le sol était tout humide. Le saint évêque y reconnut l’effet d’un précieux don spirituel très respecté et même recherché à l’époque (puisqu’il était d’usage de le demander dans des oraisons) : le don des larmes. Le plus illustre évêque de la Gaule témoigne alors sa confiance à la jeune fille à qui il parle avec déférence et un profond respect. Dès lors la foule des curieux traite sa jeune compatriote avec la plus grande considération. Sainte Geneviève s’impose aussi comme une femme d’affaires, propriétaire de riches terres dont elle fait bénéficier les Parisiens les plus pauvres, et comme une femme réfléchie qui prend peu à peu les commandes de la vie politique parisienne.

Sainte Geneviève survit à une grave maladie.[modifier]

Peu de temps après s’être installée à Paris, Geneviève tombe gravement malade, au point de sembler morte pendant trois jours. Une fois sortie de son coma, elle révèle qu’un ange la prenant par la main, lui a fait visiter le Ciel et l’Enfer ! Nourrie de cette expérience extraordinaire, son cœur embrasé d’amour pour Dieu et ses frères ne la porte pas à abuser de sa connaissance surnaturelle de l’au-delà pour terroriser les mécréants ou les tièdes par des récits horrifiants, mais à parler surtout du bonheur, absolument inimaginable à l’esprit humain, qui attend les bons au Paradis.

Sainte Geneviève face aux rois francs.[modifier]

Mérovée, qui succède à Clodion à la tête des Francs, réside à Tournai quand lui parvint en 451 la nouvelle que les Huns (qui jusqu’alors avaient fourni des mercenaires à l’Empire romain agonisant) se ruent en envahisseurs sous le commandement d’Attila. La renommée de ce dernier fait craindre le pire : il vient de prendre la ville de Metz totalement pillée et incendiée. Devant la panique, chacun envisage l’exode, mais Geneviève pense que Paris sera épargné : elle affirme qu’Attila contournera la ville. Elle réunit quelques femmes au baptistère Saint-Martin sur l’île de la Cité (à l’emplacement de l’actuel Hôtel-Dieu) pour les mettre en prière. « Que les hommes fuient, s’ils veulent, s’ils ne sont plus capables de se battre. Nous les femmes, nous prierons Dieu tant et tant qu’Il entendra nos supplications », dit-elle. En effet, apprenant que Paris était défendu, les Huns optèrent pour attaquer directement Orléans en passant par la Loire. C’est à Orléans, le 24 juin 451, qu’ils seront vaincus par Aetius « le dernier des Romains » arrivé d’Italie. Grâce à sa foi et par ce coup d’éclat, Geneviève devient quasiment la seule autorité et le seul espoir des populations du centre du bassin Parisien.

Sainte Geneviève et le culte de saint Denis.[modifier]

Grâce à sa position devenue éminente dans la capitale, Geneviève promeut le culte de saint Denis, enterré sur la route de Senlis, au nord de Paris, dans un cimetière public. Recevant chez elle les prêtres parisiens, elle parvient à les convaincre d’ériger une basilique à l’emplacement du tombeau du premier évêque de Paris, martyr, décapité vers 250. C’est elle qui fait lever un impôt, qui surveille et dirige l’édification de ce prestigieux bâtiment.

Geneviève et Childéric.[modifier]

En 465, Childéric, successeur de Mérovée et père de Clovis, entreprend le siège de Paris. Il fait de nombreux prisonniers condamnés à mort, détenus en dehors de Paris et fait fermer les portes de la ville. Avertie, Geneviève tente de sortir. Quand elle arrive devant l’une des portes, cette dernière s’ouvre toute seule. Elle parvient ainsi à rejoindre Childéric et négocie la libération des prisonniers.

Geneviève et Clovis.[modifier]

Suite à sa victoire sur Syagrius à Soissons en 486, dernière enclave « romaine » en Gaule, le jeune Clovis (roi des Francs depuis 481) entreprend le pillage de l’Île-de-France entre l’Oise et la Loire. Il assiège Paris pendant près de dix ans afin d’assurer à ses armées le passage des ponts. Pour Geneviève, il est hors de question de laisser entrer en maître dans sa ville un roi païen. Aussi, en attendant le miracle que sera la conversion de Clovis et son baptême à Reims, s’armant de patience, de courage et de foi, elle prépare à ses frais un convoi fluvial de ravitaillement en direction de ses terres personnelles d’Arcis-sur-Aube (10). À Paris, elle organise la distribution des céréales qui ont pu franchir sans dommage le blocus franc : vendant aux riches, donnant aux pauvres. En 496, la nouvelle de la conversion de Clovis, de ses officiers et soldats à Reims est reçue à Paris et par Geneviève avec enthousiasme. Désormais, plus rien ne s’oppose à ce que le roi des Francs entre solennellement dans la capitale.

Mort de Geneviève.[modifier]

Geneviève est décédée en 502 à l'âge de 79 ans. Elle fut enterrée à Paris dans un cimetière situé dans le quartier de la montagne Sainte-Geneviève, au cœur du Quartier latin. Clovis fit édifier, avec Clotilde, la basilique des Saints-Apôtres (à l’emplacement actuel de la rue Clovis et du lycée Henri-IV) sur la tombe même de sainte Geneviève. Aujourd’hui, dans l’église Saint-Étienne-du-Mont à Paris, une châsse abrite quelques uns des restes de la sainte, perpétuant le souvenir de celle qui, par son calme et sa foi, sauva Paris du péril d’Attila.

La très riche personnalité de sainte Geneviève.[modifier]

Sainte Geneviève a montré plusieurs visages étonnants au cours de sa vie terrestre.

Celui, bien-sûr, de la vierge consacrée, exemple de vie ascétique et mystique, fidèle au Christ et témoignage public d’une vie admirable de simplicité. L’auteur de sa « Vita » (biographie hagiographique) nous montre combien sa vie rappelle les récits bibliques.

Celui de la femme éducatrice, lorsqu’ayant fondé un groupe de vierges consacrées, elle s’occupe du baptistère et de l'éducation des enfants.

Celui de la femme architecte, qui construisit de nombreux édifices :

  • la nouvelle basilique de Saint-Denis au bourg de Catuliacus pour contenir les reliques du saint éponyme envers qui elle avait une grande dévotion.
  • la chapelle Saint-Denis devenue plus tard chapelle Sainte-Geneviève, puis encore l‘actuelle église Sainte-Jeanne-d’Arc. C’est de là que vient le nom de « Porte de la Chapelle » sur le boulevard des maréchaux. Ce site, à l’embranchement des deux routes du Nord, Senlis et Rouen, devint également un hôpital-pensionnat où s’arrêtaient les voyageurs et pèlerins (voir J.Monin, Saint Denys de la Chapelle, Imp. J. de Rudder, Montrouge, 1952).
  • le baptistère qu’elle dédia à saint Martin.
  • le groupe immobilier des vierges consacrées installé à peu de distance de l’actuelle église Saint-Gervais et de l’Hôtel de Ville.

Celui de la femme politique qui a négocié avec Childéric, Clovis et parlé avec saint Rémi et saint Germain d’Auxerre.

Celui de la femme administrateur puisqu’elle semble avoir administré Paris à la suite de sa marraine.

Celui de la femme voyageuse : vers Laon, Beauvais, Reims, Arcis-sur-Aube et Troyes, Orléans et Tours et même peut-être jusqu’à Eindhoven et la région de Clèves.

Celui de la femme d’Église, qui promu les cultes de saint Denis, saint Martin à Tours, saint Aignan à Orléans.

Celui de la femme qui avait le don des larmes, de la vision intérieure de ses interlocuteurs, de guérisons miraculeuses et le pouvoir de commander aux éléments. On lui attribue, de son vivant, plus de trente miracles et bien plus encore de miracles posthumes.

Elle fut déclarée sainte par acclamation populaire dès son décès et son inhumation.

Compléments[modifier]

Contexte historique du début du Vème siècle.

À ses origines, Lutèce est une ville marchande grâce au passage qu’elle offre pour traverser la Seine. Devenue plus tard une ville administrative, fortifiée dans l’île de la Cité, elle sert de villégiatures à plusieurs empereurs. La Lutèce romaine, 5000 habitants, change de nom au milieu du IVème siècle, marquant ainsi son indépendance du pouvoir romain, tout en conservant ses institutions. À la veille de l’éclatement de l’empire romain d’Occident, Paris sous l’impulsion de Geneviève, devient capitale des Francs, mais aussi et surtout donne l’impulsion religieuse qui débouchera sur les congrégations et l’université.

Date de la mort de Geneviève.[modifier]

La date de sa mort, 502 ou 512, a depuis longtemps été l’objet d’interrogations, voire de divisions entre les auteurs. Ce sont les manuscrits eux-mêmes qui, dans les translations de textes (lecture des documents) et les traductions du latin au français, ont introduit cette incertitude. Aujourd’hui, c’est la date de 502 qu’il faut retenir, en précisant que sainte Geneviève fut inhumée dans une chapelle en bois pendant 10 ans, avant que sainte Clotilde ne la fasse déplacer auprès de son mari, décédé le 27 novembre 511, dans la basilique des Saints-Apôtres tout juste construite. On doit donc mesurer, eu regard à la modestie profane de sa vie telle qu’elle est décrite dans sa Vita, l’importance politique majeure qu’elle représentait pour la dynastie franque. Négociatrice des Parisiens auprès de quatre rois (Clodion, Mérovée, Childéric et Clovis) elle se sera trouvée à gérer malgré elle la transition hasardeuse de l’empire romain en Gaule (le dernier royaume de Syagrius) vers l’empire mérovingien. Elle aura réussi l’union d’une chrétienne : Clotilde, et d’un athée : Clovis, alliance d’un territoire romanisé avec ses conquérants d’origine, qui passe par leur baptême par saint Rémi. Dans une logique contraire, les Wisigoths, chrétiens ariens gouvernant le sud de la Loire, auraient pu prendre le contrôle du Nord empêchant la nouvelle Europe de se constituer.

En raison de ces forces politiques, Paris était au Vème siècle divisé par ses origines mi gallo-romaines mi barbares romanisées. Cela explique le climat de guerre civile qui y régnait, tempéré par l’autorité de Geneviève ; et explique la vacance épiscopale des évêques cités entre saint Marcel décédé le 1er novembre 426, et l’arrivée d’Héraclius, évêque présent à la mort de Clovis.

Si l’histoire de la vie de sainte Geneviève, patronne de Paris et de la France, est relativement peu connue, son histoire posthume, parsemée de miracles, l’est encore bien davantage.Sans entrer dans trop de détails, les grands épisodes miraculeux où le public a pu en prendre connaissance in vivo sont les suivants :

1- La châsse de sainte Geneviève fut mise en sécurité lors de l’invasion de l’Île-de-France par les pirates normands de 858 à 863 dans l’actuelle Seine-et-Marne. Au cours du trajet de retour à Paris en 863, et à chaque étape, de nombreux miracles s’établirent au passage de la châsse.

2- En 1130, une terrible maladie, le mal dit « des Ardents », sévissait dans le Nord de la France et à Paris. Chaque région invoquait son saint protecteur pour s’en défendre. À Paris, on décida d’une grande messe à Saint-Étienne en présence de 103 malades grabataires. Au cours de la messe, au moment d’effleurer la châsse de sainte Geneviève de leurs doigts, cent d’entre eux furent instantanément guéris. Cet évènement spectaculaire conduisit le pape Innocent II en visite à Paris l‘année suivante à pérenniser la mémoire de ce miracle en ratifiant une nouvelle fête le 26 novembre.

3- En 1914, de nombreux militaires (comme des historiens actuels) se perdent en conjecture sur l‘erreur stratégique des Allemands, début septembre, à renoncer à la prise de Paris qui en théorie ne posait pas de difficulté. Les observateurs chrétiens invoquent l’intervention de sainte Geneviève, priée à Notre-Dame les 5, 6 et 7 septembre 1914, et sa tristesse de voir mourir le lieutenant Charles Péguy, le 5 septembre, révolver au poing. Cet épisode de la guerre de 1914-1918 où Paris fut sauvé prendra le nom de « miracle de la Marne ».

Mais ces trois épisodes ne doivent pas effacer les miracles personnels auxquels de grands personnages doivent leur guérison, sinon la vie à sainte Geneviève. Nous pensons ici à Érasme ou Louis XV, qui fit vœu de construire la nouvelle église Sainte-Geneviève, devenue Panthéon. Moins célèbre est l’histoire du fils de l’auteur dramatique athée, Edouard Delalain, miraculeusement guéri d’une maladie qui le condamnait à mort alors qu’il suivait la neuvaine de sainte Geneviève contre son gré et sur l’injonction de sa femme. Rapidement converti, il raconte cet évènement dans son livre Légendes de sainte Geneviève, publié en 1871.

Sainte Geneviève aura vu son histoire, peu connue, effacée par celle de Jeanne d’Arc.

Elle a été élue Patronne de Paris par acclamation ou reconnaissance populaire de temps immémoriaux. La trace la plus ancienne de son culte qui nous parvenue est celle du fameux « Lectionnaire de Luxeuil » (BN ms. lat. 9427.70), qui présente différentes lectures sous le titre « Legenda in festivitate sanctae Genovefae » et daté d'environ l'an 700.

Son culte se déroulait jusqu’à la Révolution en grande solennité.

Pourtant, de nombreux sanctuaires français lui gardent mémoire. Elle est aussi et surtout étonnamment présente dans toute l’Europe : de Saint-Gall à Ratisbonne en Allemagne, en passant par la Belgique et la Hollande.

Voici, à titre d’exemple, une photo prise pendant les solennités à sainte Geneviève lors de la Pentecôte 2014 à Steenhuffel dans le Brabant belge, où l‘on distingue les pavois aux initiales de sainte Geneviève mêlés aux pavois de la nation belge. Qui ne serait pas étonné de voir cela ailleurs qu’en France où cette symbiose n’existe plus...

« France, fille aînée de l’Église, qu’as-tu fait de ton baptême ? »

Voici les fêtes annuelles commémoratives de sainte Geneviève :

  • 3 janvier : mort de sainte Geneviève et neuvaine
  • 10 janvier : invention du chef de sainte Geneviève
  • 28 octobre : fête de la translation des reliques de sainte Geneviève
  • 26 novembre : miracle des Ardents

Sources documentaires[modifier]

Sources manuscrites.

Cette vie de sainte Geneviève a pour origine les manuscrits qui nous sont parvenus, dispersés dans les monastères de toute l’Europe occidentale et les bibliothèques publiques. La Vita d’origine, écrite 18 ans après sa mort à la demande de sainte Clotilde, c'est-à-dire vers 520 ou 530, ne nous est pas parvenue, et les premiers manuscrits datent du IXe siècle. Ces « trous » littéraires sont principalement dus aux destructions des Normands en Île-de-France, et aux pillages des abbayes de Sainte-Geneviève et de Saint-Denis. Quelques manuscrits partiels sont aussi passés par Corbie ou Saint-Gall. Ils sont donc, en fonction de leur origine et caractéristiques, classés en cinq groupes qui se différencient par les détails des différentes Vita.

Ces sources primaires sont accessibles avec les ouvrages de référence suivant :

  • Pierre KOHLER, Etude critique des vies de Sainte Geneviève, Bibliothèque de l’Ecole des Hautes Etudes, 48ème fascicule, 1881, Éd. Vieweg, Paris.
  • Joseph-Claude POULAIN, Les cinq premières Vitae de Sainte Geneviève, Journal des Savants, 1983, p. 81-150.
  • Martin HEINZELMANN & Joseph-Claude POULAIN, Les vies anciennes de Sainte Geneviève, Champion-Slatkine, Paris-Genève, 1986.
  • Acta Sanctorum, Ökumenisches Heiligenlexkon, Genoveva von Paris, De S. Genovefa Virgine Parisiis in Gallia.
  • Bruno KRUSCH, Monumenta Germaniae Historica, Scriptores rerum merovingicarum, III, Hanovre, 1896, p. 204-218.

Sources croisées. Grégoire de Tours, Histoire des Francs, Gloire des confesseurs.

Grandes Chroniques de France, ms 783, Bibliothèque Sainte Geneviève, Paris.

Sources modernes. L’année 2013 nous a valu une avalanche d’ouvrages sur sainte Geneviève qui signe l’abandon d’un genre littéraire ancien et emprunté pour le renouveler de la meilleure façon.

  • Dom Dubois Jacques et Beaumont-Maillet Laure, Sainte Geneviève de Paris, Éd. Beauchesne, Paris, 1985.
  • Gallo Max, Geneviève de Paris, Éd. XO, Paris, 2013 : ouvrage romancé de la vie de sainte Geneviève que l’académicien a mis en scène avec les personnages qu’elle a pu côtoyer.
  • Soissons Jean-Pierre, Sainte Geneviève de Paris, Éd. Desclée, Paris, 2013. L’Auxerrois, renouvelle avec sainte Geneviève le récit de la vie de saint Germain qu’il avait écrit précédemment.
  • Monseigneur AYBRAM, Petite vie de sainte Geneviève, Éd. Desclée, Paris, 2013 : une version moderne de la vie de sainte Geneviève qui ne s’écarte pas cependant du contexte historique.